lundi 31 octobre 2011

Macros



Défi marron 31

Et la devinette, c'était quoi ?
que fait un disc jockey sur de la glace ?

Au jardin des vivaces



Il ne reste plus guère de fleurs, au jardin des vivaces. Mais les feuilles se parent de couleurs compensatrices. C'est beau.


Même les fleurs fanées peuvent être belles.

Vers le ciel, vers le sol














Rencontre au Parc

Pendant la pause déjeuner, je vais faire un tour au Parc ; l'air est très doux, le soleil malicieux et la ville quasiment vide, à croire que tout le monde fait le pont !
Couché dans les feuilles, il me regarde nonchalamment.

Défi marron 30

Retour des cosmos chocolat :
couleur et odeur de chocolat
à consommer sans modération au jardin

Chocolat !



Même pas peur...

Isabelle, tu peux venir !

Quand la Presse parle de lui...

A l'instar de ses coéquipiers, Jonathan Lupinelli a repris des couleurs dans le jeu. PHOTO LOÏC DEQUIER


Coup d'œil dans le rétro. C'était lors d'une rencontre amicale face aux Genêts d'Anglet, son ancien club. Derrière les poteaux, Jonathan Lupinelli s'échauffe, multipliant les regards insistants en direction de son entraîneur. Ce soir-là, le joueur stadiste fera banquette. Pas une seule minute sur la pelouse et au coup de sifflet final, une énorme frustration : « Bien sûr que je voulais jouer ce match car j'avais porté ce maillot et j'étais un peu revanchard. Maintenant, ce n'était qu'un match de préparation ». Mais au fond de lui-même, l'ancien Girondin connaissait parfaitement la cause de ses déboires. « J'ai eu, comme l'an passé, un peu de mal à digérer la préparation physique de début de saison ».
Un sentiment entièrement partagé par Bruno Scipion : « Il a en effet du mal à l'encaisser mais ça va beaucoup mieux ». Il aura en effet fallu à Jonathan, Lupinelli, une petite somme de matchs pour retrouver ses sensations. Ses premières productions furent plutôt moyennes malgré un bagage technique toujours aussi solide. «Tant que physiquement je n'étais pas au point, je ne me sentais pas très à l'aise».

Période d'adaptation

D'autant que le violoniste jaune et noir n'était pas habitué à évoluer de façon aussi régulière à ce poste de latéral droit qui oblige à de nombreuses courses, d'incessants allers-retours propices à décrasser le moteur. « C'est un poste exigeant, avoue le joueur montois, surtout au plan physique. Mais au fil des rencontres, je suis monté en puissance. À ce poste là, c'est l'enchaînement des rencontres qui me permettra de m'y adapter réellement ». À l'instar de ses coéquipiers, Jonathan Lupinelli est désormais dans le bon tempo. « Depuis deux ou trois matchs, il est mieux, confirme le coach, quand l'équipe s'est remise à bien jouer ».

Jonathan Lupinelli peut enfin exposer ses arguments techniques : « J'aime quand on pratique du beau jeu, ça correspond plus à mon profil de joueur. Cependant, comme je le répète, rien n'est possible si je ne suis pas au point sur le plan physique ». Encore perfectible dans le couloir, l'ancien pensionnaire du Centre de formation des Girondins où il évoluait soit dans l'axe central, soit en milieu défensif, éprouve ce besoin de faire circuler le ballon. Un réflexe naturel qui le contraint à se faire violence dans les duels.

Muscler les duels

Le manque d'agressivité fait parfois défaut au jeune Montois, ce qui irrite de temps à autre son coach. « C'est dans les duels que Jonathan doit encore s'améliorer. Je sais qu'il est capable de le faire ».

Sur les terrains comme à la ville, le sieur Lupinelli passe pour un gentil garçon. Trop peut-être à ce niveau de compétition. Le latéral stadiste en est manifestement bien conscient. « Je ne sais pas si je suis trop gentil. En revanche, je me repose assez facilement sur mes qualités techniques. Il faut par conséquent que j'arrive à travailler dans ce domaine pour devenir plus performant ». Le Montois est finalement à l'image du reste de l'équipe, c'est-à-dire très porté sur le jeu.

Une envie de se faire plaisir qui ne saurait occulter la dure réalité des tâches proprement défensives. Comme le martèle bien souvent Bruno Scipion : « Nous devons commencer par ne pas prendre de buts ». Un message à méditer avant la venue des dauphins tarbais. Et pour Jonathan Lupinelli, la ferme intention de se payer la peau de l'ours.

Bertrand Lucq (Journal Sud Ouest du 22 octobre 2011)

Festival de couleurs

Cela faisait longtemps que je n'étais allé au Parc, tranquillement, lorsque la lumière est bonne, qu'il n'y a pas trop de monde. Car en cette saison, il fait sombre lorsque je pars et lorsque je reviens du travail, et le midi je rentre à la maison puisque Clara ne déjeune plus à la cantine.
J'ai profité que nous étions de retour, samedi, en début d'après-midi, pour y aller (les courses et le ménage attendront!)
J'ai été une fois de plus émerveillée par la gamme de couleurs de tous ces arbres.

















J'envisage d'y retourner demain car, si je travaille, je n'aurais par les enfants encore en congé mais chez leur papa jusqu'à mardi. Ouf !

dimanche 30 octobre 2011

Expositions à La Bastide

Cet ancien temple est devenu une salle d'exposition. A l'occasion de la fête de l'Armagnac, on pouvait visiter l'exposition "Les sens du goût"...



Traduction de manuscrits vous indiquant les vertus de cette boisson...

Gamme de couleurs...





Odeurs...

Exportations dans le monde entier.



Et dehors, devant le temple, l'exposition de Jean-Pierre Ducasse qui fut l'instituteur de ma fille.


Jean-Jacques DUCASSE
est un artiste landais qui utilise toutes les ressources naturelles de son sol natal ( pin déroulé, racines, colophane, fougères, algues, feuilles…) pour créer des tableaux et des sculptures, véritables odes à la nature et à la région dont il est originaire. Thème « Reflets de Paysages » Bas-Armagnac Millésime 2011. Toiles à découvrir soit dans les chais soit dans les vignes. (trouvé sur Internet)